FAQ's - Investissements

Vous y investirez la partie de vos avoirs pour laquelle vous êtes prêt à prendre plus de risques en échange d'un rendement lui aussi supérieur. Vous souhaitez néanmoins tempérer l’impact de ce niveau de risque sur vos avoirs? Pour cela, il vous suffit de nous communiquer le montant maximum que vous souhaitez détenir dans ce portefeuille ainsi que la stratégie d’investissement que vous voulez y appliquer.

Dans votre portefeuille Croissance, nous faisons la distinction entre deux types d’investissements: les actifs à risque moyen* et les actifs risqués**.

* Par actifs à risque moyen, nous entendons par exemple les obligations en devises non-émergentes, les obligations belges sans rating, les fonds obligataires et les fonds mixtes défensifs.
** Par actifs risqués, nous entendons par exemple les instruments d’investissement tels que les produits dérivés, les actions, les fonds d’actions, les fonds mixtes, les valeurs immobilières (certificats, fonds, sicav immobilières, etc.), les produits du type « reverse convertible », les instruments de créance sans droit au remboursement à l’échéance, les investissements dans des matières premières, les obligations à haut rendement (high yield), les obligations à très longue échéance (> 35 ans), les fonds d’obligations convertibles, les fonds de type « absolute return » (excepté les fonds obligataires du type « absolute return ») et les hedge funds.

Le portefeuille Protection comporte les avoirs que vous souhaitez investir à plus long terme, tout en visant un rendement plus élevé que pour la partie Liquidités. Vous êtes prêt à vous exposer au risque d’investissement, mais vous souhaitez toutefois privilégier la préservation du capital (risque de crédit modéré à moyen).

Le portefeuille Protection se compose donc de titres qui vous donnent droit au remboursement de la valeur nominale par l’émetteur (ou le cas échéant par un tiers-garant) à la date d’échéance (par exemple des parts de fonds à capital garanti ou protégé, des produits de Branche 21, des bons d’Etat et des bons de caisse) et qui distribuent des revenus réguliers, au cas où vous opteriez pour la distribution des revenus.

Nonobstant le choix d’émetteurs considérés de qualité par des tiers indépendants (par exemple les agences de notation) ou d'investissements soumis à des mécanismes de limitation des risques (par exemple les principes de diversification des fonds), ces produits comportent toujours un risque de capital (par exemple en cas de faillite de l’émetteur) qui peut mener à une perte de capital et de revenus. De même, ces titres sont soumis à des fluctuations de valeur jusqu’à leur date d’échéance.

Vous aurez la possibilité de fixer un seuil minimum que vous souhaitez investir dans le portefeuille Protection. Nos propositions d’investissement en tiendront compte et notre priorité sera la vôtre : sécuriser le montant indiqué dans ce deuxième portefeuille.

Vous pouvez adapter vos objectifs à tout moment dans votre Online Banking (onglet 'Investissements' dans le menu de navigation), via notre Service Clients ou en vous rendant dans votre Advisory Center.

Vos objectifs financiers font partie de votre Financial ID. C'est sur cette base que nous pouvons vous aider à prendre les bonnes décisions pour votre argent, afin que vous puissiez atteindre vos objectifs.

En tant qu'investisseur, vous êtes obligé de déclarer connaître un produit avant de pouvoir investir dans celui-ci. Cela signifie que vous ne pouvez pas acheter de produits que vous ne connaissez pas via Online Banking.

Un conseiller ne peut pas vous vendre de produits que vous avez déclaré ne pas connaître car ceux-ci ne correspondent pas à votre profil.

L'expérience préalable n'est pas spécialement indispensable afin de pouvoir effectuer des transactions dans une certaine catégorie de produits. Cette expérience doit néanmoins progressivement être constituée. Ceci peut se faire en exécutant votre transaction par l'intermédiaire de l'un de nos conseillers, dans votre Advisory Center ou via Talk & Invest (078 156 157). Si vous avez effectué moins de trois transactions dans une certaine catégorie de produit, un pop-up vous rappellera les caractéristiques de base de cette catégorie de produits.

Le rendement year-to-date d'un titre ou d'un portefeuille est la variation (exprimée en pourcentage) de la valeur du titre ou du portefeuille concerné depuis le dernier jour de l'année calendrier qui précède (le 31/12) et aujourd'hui.

Les principales classes d'actifs que nous vous proposons chez Deutsche Bank sont les suivantes (liste non exhaustive): Emprunts & Bons d’Etat belges, obligations (marché primaire et secondaire), produits structurés (Notes), actions, warrants, strips, droits, certificats immobiliers, fonds d'investissement et trackers (ETF). Consultez la liste complète ainsi que nos tarifs sur notre site.

La volatilité est une mesure du risque souvent utilisée lorsqu'on parle de la volatilité d'une action, d'une obligation ou d'un autre investissement. Elle mesure la volatilité du prix ou les fluctuations de prix des actions, des obligations, des indices ou des titres du portefeuille sur une période donnée par rapport au prix moyen. Une volatilité élevée signifie que le prix d'un produit augmente et diminue fortement pendant une période assez courte. La volatilité est également un indicateur du risque auquel un investisseur est confronté lorsqu'il souscrit à un produit particulier. Plus la volatilité est élevée, plus le risque de perte en capital est important.

Le marché continu est réservé aux actions les plus liquides, pour lesquelles la fixation du prix est possible durant toute la journée (en continu). Le marché du fixing est réservé aux actions moins liquides dont le cours n'est fixé qu'une fois par jour (simple fixing) ou deux fois par jour (double fixing). Les acheteurs et les vendeurs placent leurs ordres sur le marché et le cours d'équilibre est celui auquel le volume le plus important peut être traité.

Le tableau des fonds recommandés sur la page ‘Investissements’ reprend les informations provenant de FTID (Financial Times Interactive Data, fournisseur de données financières) alors que les informations qui sont mentionnées dans les écrans de souscription de l'Online Banking proviennent de nos systèmes internes. En effet, si vous souscrivez via l'Online Banking, l’information provient directement de nos systèmes informatiques qui sont interrogés à cet effet-là. Notez toutefois que la Valeur Nette d’Inventaire (VNI) à laquelle vous souscrivez reste indicative.

Qu’entend-on par « cut off time » ?
Il s’agit de la dernière possibilité pour souscrire aux parts d’un fonds aux conditions de la prochaine VNI. Passé ce délai, votre souscription ne se fera plus aux conditions de la prochaine VNI, mais de la suivante. Pourquoi cette mesure de précaution ? Pour éviter que de nouveaux investisseurs entrent dans un fonds à un cours connu à l’avance, au détriment des investisseurs existants. Attention, prévoyez une marge de sécurité car le distributeur du fonds a besoin de temps lui aussi pour passer l’ordre.

Dans la pratique, ça se passe comment ?
Prenons un exemple concret avec un fonds dont la cotation est hebdomadaire. Pour calculer la VNI, le gestionnaire de fonds se base sur les derniers prix disponibles le jeudi à 10 h. Celle-ci est publiée dès le lendemain. Mais le « cut off time » est fixé le mardi à 19 h. Autrement dit, si vous passez votre ordre avant le mardi à 19 h, vous souscrirez aux conditions de la VNI arrêtée deux jours plus tard, à 10h. Si votre ordre est passé le mardi à 20 h, vous entrerez donc dans le fonds aux conditions fixées le jeudi suivant, soit 9 jours plus tard.

Où trouve-t-on les VNI des fonds ?
En général, vous trouverez la VNI des fonds soit dans la plupart des journaux spécialisés, soit sur le site de l’Association belge des Gestionnaires d’Actifs, la BEAMA : www.beama.be ou bien dans votre Online Banking (pour les fonds distribués par Deutsche Bank).

La publication DB Market Insights est votre rendez-vous mensuel avec les marchés financiers. Des prévisions pour les actions, obligations, devises, matières premières… Et ceci, à chaque début de mois. Consultez la dernière édition.

Les trackers sont des fonds ou des paniers d’actions cotés en Bourse qui ont pour objectif de répliquer la performance d’un indice ou d’un panier d’actions et combinent les avantages des actions (simplicité, cotation continue) à ceux des fonds traditionnels (accès à une offre large, diversification). Les trackers se retrouveront tous dans votre portefeuille "Croissance".

On entend par investissement périodique la possibilité d'investir périodiquement des montants déterminés dans un fonds d'investissement. Ce système se prête très bien à la constitution d'un capital complémentaire (pour la pension par exemple). Il vous offre de nombreux avantages : vous répartissez le risque dans le temps, vous déterminez vous-même le montant (à partir de 100 euros par mois) ainsi que la fréquence .

Un fonds (appelé également Organisme de Placement Collectif) rassemble les montants placés par un certain nombre d'investisseurs et répartit ce capital total dans différents produits d'investissement, comme des actions et des obligations. Le total du capital investi est alors divisé en parts auxquelles vous pouvez souscrire. Le gestionnaire du fonds suit de façon proactive ce capital pour tenter d'en optimiser le rendement, en fonction de la politique d'investissement déterminée pour ce fonds, à laquelle il doit se tenir. Celle-ci se retrouve entre autres sur le Document d'Informations Clés disponible sur notre site internet pour chaque fonds.

Avant de souscrire, vous avez l’obligation de prendre connaissance de ce document. Ce document est disponible en français ou néerlandais sur notre site. Nous vous invitons également à lire le prospectus et des derniers rapports périodiques de la Sicav/du compartiment. Ces documents peuvent également être consultés sur notre site ou obtenus gratuitement dans les agences de Deutsche Bank AG Succursale de Bruxelles (en tant que distributeur) et auprès du service financier. Les produits d’investissements sont sujets à risques. Ils peuvent évoluer à la hausse comme à la baisse et les investisseurs peuvent ne pas récupérer le montant de leur investissement. Le présent document ne constitue pas un avis fiscal ni légal. Les investisseurs intéressés devraient consulter leur conseiller fiscal quant à leur situation fiscale personnelle en relation avec un éventuel investissement.

Deutsche Bank AG Succursale de Bruxelles reçoit de la part du gestionnaire de l’OPC un pourcentage de l’indemnité de gestion de ce dernier et ce, sous la forme de rétrocessions. De façon générale ce pourcentage varie entre 50% et 60%.

1. Acessibilité : grâce aux fonds, vous avez accès à des marchés spécifiques qui sont normalement réservés aux professionnels ou aux clients fortunés (par exemple, la bourse chinoise, les marchés obligataires des pays émergents).
2. Diversification : grâce à un fonds, vous investissez indirectement dans un panier d'actifs répartis dans différents pays et/ou secteurs - grâce à cette diversification, vous réduisez le risque inhérent à chaque investissement unique (par exemple, une action individuelle).
3. Expertise : le gestionnaire du fonds s'appuie souvent sur une équipe de gestion composée parfois de plus de 20 analystes qui scrutent les entreprises dans lesquelles le fonds investit. Il dispose de l'expertise développée par sa société de gestion, qui opère souvent aux quatre coins du monde. Remarque : investir dans un fonds comporte également des risques - il faut donc toujours lire le Document d'Informations Clés avant d'investir dans un fonds spécifique.

Les résultats du passé ne donnent aucune garantie pour le futur. Cela compte aussi pour le rendement d'un fonds. Le rendement attendu d'un fonds est tout d'abord lié à sa politique d'investissement et aux risques des actifs dans lesquels le gestionnaire de fonds peut investir. De manière générale, un rendement plus élevé ne peut être atteint sans prise de risque additionnelle.

Le gestionnaire de fonds fera la différence par sa sélection de titres. La qualité d'un gestionnaire se mesure, entre autres, par la différence de rendement sur le long terme que peut procurer son fonds par rapport au marché.

1. Définir votre Financial ID
   Il est primordial de vous faire une idée précise des risques que vous êtes prêt à assumer. Pour cela, nous vous invitons à compléter votre Financial ID (profil d'investisseur). Toute décision d'investissement doit être conforme à votre Financial ID. Plus d'informations sur deutschebank.be/financialid.
2. Conserver des liquidités en épargne
   L'épargne vous permet de garder de l'argent sous la main pour vos projets à court-terme ou en cas d'urgence.
3. Déterminer vos objectifs et vos moyens
   Est-ce que vous voulez vous assurer des revenus complémentaires? Combien pouvez-vous investir et pendant combien de temps ?
   
4. Définir votre horizon d'investissement
   Combien de temps pouvez-vous vous passer de l'argent que vous souhaitez investir ?
5. Diversifier
   Ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier. Personne ne peut investir à chaque fois dans le bon placement au bon moment. C'est pourquoi, la diversification est essentielle, qu'il s'agisse du type de produit, de la durée du placement ou des moments où l'on investit.

Notre site web vous offre plusieurs options pour trouver des fonds :

1. Outil de recherche :
   Les fonds n'ont désormais plus de secret pour vous et vous savez exactement ce que vous recherchez ? Utilisez alors notre outil de recherche.
2. Notre sélection de fonds :
   Nos experts analysent de près de nombreux fonds d’investissement et en sélectionnent certains sur base de critères qualitatifs (comme l’expérience de l’équipe de gestion) et quantitatifs (comme la notation Morningstar). Le résultat est un condensé de près de 40 fonds. Notre sélection de fonds est visible et disponible pour nos clients dans leur Online Banking.
3. DB Investment Plan :
   Une solution pour les personnes qui souhaitent investir à leur rythme. Grâce à cette formule flexible, vous investissez automatiquement et à intervalles réguliers des montants périodiques (à partir de 100 €/mois) dans des fonds. Découvrez cette solution.
   

Bien entendu, vous pouvez toujours prendre rendez-vous dans l'un de nos Advisory Centers. Nos conseillers se feront un plaisir de vous aider à faire le bon choix.

Avant de souscrire, vous avez l’obligation de prendre connaissance du document d'Informations Clés. Ce document est disponible en français ou néerlandais sur notre site. Nous vous invitons également à lire le prospectus et des derniers rapports périodiques de la Sicav/compartiment. Ces documents peuvent également être consultés sur notre site ou obtenus gratuitement dans les agences de Deutsche Bank AG Succursale de Bruxelles (en tant que distributeur) et auprès du service financier. Les produits d’investissements sont sujets à risques. Ils peuvent évoluer à la hausse comme à la baisse et les investisseurs peuvent ne pas récupérer le montant de leur investissement. Le présent document ne constitue pas un avis fiscal ni légal. Les investisseurs intéressés devraient consulter leur conseiller fiscal quant à leur situation fiscale personnelle en relation avec un éventuel investissement. Deutsche Bank AG Succursale de Bruxelles reçoit de la part du gestionnaire de l’OPC un pourcentage de l’indemnité de gestion de ce dernier et ce, sous la forme de rétrocessions. De façon générale ce pourcentage varie entre 50% et 60%.

Les fonds sont répartis suivant le type d'actifs dans lesquels ils investissent:

1. Les fonds d'obligations investissent leurs avoirs dans des obligations d'émetteurs publics (Etats) et/ou privés (entreprises).
2. Les fonds d'actions investissent dans les actions de différentes sociétés en se concentrant généralement sur des zones géographiques (Europe, Etats-Unis, Asie, Inde…), des secteurs (pharmacie, matières premières, biens de luxe…) ou encore des thèmes particuliers (actions qui distribuent des dividendes élevés…).
3. Les fonds mixtes sont conçus pour proposer une véritable gestion diversifiée. Ces fonds répartissent leurs avoirs entre actions, obligations et liquidités. Certains d'entre eux définissent au départ une répartition fixe entre actions et obligations (par exemple 60% en actions et 40% en obligations) à laquelle le gestionnaire doit se tenir (à 5% près). D'autres fonds sont plus flexibles et gèrent tactiquement leur exposition aux marchés d'actions en fonction du cycle boursier (par exemple, exposition aux actions entre 0% et 50%). Cette flexibilité est décrite dans la politique d'investissement du fonds.

Vous percevez régulièrement vos gains ou vous les réinvestissez.

• Capitalisation: vous disposez d'un capital que vous souhaitez faire croître ou vous voulez vous constituer un capital ? Les fonds à capitalisation réinvestissent automatiquement les bénéfices pour augmenter la valeur du capital initial.
• Distribution: vous voulez obtenir des revenus réguliers d'un capital existant ? En règle générale, un fonds à distribution paie un dividende sur une base annuelle s'il a engrangé des performances positives au cours de l'année écoulée. Le dividende n'est toutefois pas fixé à l'avance et peut donc varier sensiblement d'une année à l'autre.

Différents types de frais s'appliquent à un investissement dans un fonds. Vous trouverez ci-dessous plus d’informations :

• Frais d'entrée
  Lorsque vous investissez dans un fonds, vous payez généralement des frais d'entrée. Chez Deutsche Bank, ces frais sont parmi les plus bas du marché : 1,5% pour le taux standard et de 1% pour les taux DB Personal et Private Banking, sauf indication contraire (tel que cela peut être imposé par le gestionnaire du fonds dans le prospectus). Pour plus d’informations, consultez nos Tarifs.
  
• Frais courants
  Aussi appelés coûts récurrents, ils sont inclus dans la valeur de l'instrument financier et, par conséquent, immédiatement inclus dans les calculs de rendement. Les frais courants comprennent les frais de gestion, les autres frais administratifs ou d'exploitation et les frais de transaction.
  
  Selon les accords de distribution signés, Deutsche Bank reçoit du gestionnaire de fonds un pourcentage des frais de gestion sous forme de rétrocessions. En général, ce pourcentage varie entre 50 et 60%. Ces rétrocessions sont une compensation pour la sélection, la communication, le suivi et le reporting effectués par le distributeur.
• Frais de sortie
  Il s'agit des frais prélevés lors de la vente d’un fonds. Ces frais sont généralement nuls pour la plupart des fonds distribués par Deutsche Bank.

Les frais affectent les rendements. Les frais courants sont perçus de manière récurrente, tandis que les frais d'entrée et de sortie sont perçus de manière ponctuelle. Plus la durée de détention de l'investissement sera courte, plus les frais ponctuels pèseront sur le rendement total de l'investissement.

A titre d’exemple ; le coût de détention annuel pour un investissement dans un fonds avec des frais d'entrée de 1,5% (pas de frais de sortie), et des frais récurrents totaux de 1,75%; serait de 3,25% pour une vente après 1 an; de 2,25% pour une vente après 3 ans et de 2,05% pour une vente après 5 ans.

Le document "frais et taxes" précontractuel renseigne à l’investisseur de manière plus précise et chiffrée les frais applicables pour chaque transaction portant sur un fonds.

On entend par DB Investment Plan la possibilité d'investir périodiquement des montants déterminés dans un fonds d'investissement. Ce système se prête très bien à la constitution d'un capital complémentaire (pour la pension par exemple). Il vous offre de nombreux avantages : vous répartissez le risque dans le temps, vous déterminez vous-même le montant (à partir de 100 euros par mois) ainsi que la fréquence .

Les frais d'entrée sont limités à 1,5% pour le tarif standard et 1% pour les tarifs DB Personal et Private Banking sur tous les fonds disponibles dans le DB Investment Plan.

Via notre moteur de recherche pour fonds, vous trouverez tous les fonds pour lesquels il vous est possible d’investir périodiquement. Cochez « DB Investment Plan » dans votre Online Banking (ou « Investissement Programmé » sur le website) et puis cliquez sur « Chercher ».

Les produits structurés, également connus sous la dénomination de Structured Notes, existent sous la forme de "titres de créance avec remboursement total ou partiel du capital". Ce produit est un instrument financier d'une durée déterminée, généralement émis par des institutions financières, qui offre un rendement associé à un ou plusieurs actifs sous-jacents (par exemple un taux d'intérêt ou un indice boursier) via des coupons fixes ou variables payés en cours de vie ou à l'échéance du titre. Dans le cas d’un "titre de créance avec droit au remboursement du capital", l'émetteur s'engage à rembourser à l’investisseur 100% du capital souscrit (après déduction des coûts et frais prélevés en sus de la valeur nominale) à l'échéance (sauf en cas de faillite ou risque de faillite de l'émetteur). Par contre, dans le cas d'un "titres de créance avec droit partiel au remboursement du capital ", l'émetteur ne s'engage pas à rembourser à l’échéance à l’investisseur 100% du capital souscrit (hors frais). Il existe également des "titres de créance sans droit au remboursement du capital".

Ces produits structurés sélectionnés par Deutsche Bank ont pour particularité de :

• Combiner plusieurs produits financiers (obligations, fonds, actions, ...) en collaboration avec différents partenaires financiers.
• Proposer des scénarios de rendement différents (ex. suivi d‛un indice boursier, un taux, un fonds...).
• Permettre d‛investir à partir de 1000 euros en misant sur des classes d'actifs souvent moins accessibles.
• Bénéficier d'un horizon de placement à court ou à plus long terme.
• Faire l‛objet d‛une période de souscription limitée.

Découvrirez également une définition didactique dans notre vidéo.

Dans le cadre d’une stratégie défensive, les produits structurés avec droit au remboursement de la valeur nominale à l’échéance par l’émetteur peuvent s’avérer être une solution de premier choix. Moyennant un risque de crédit mesuré, dépendant de la solvabilité de l'émetteur, ils permettent de diversifier le portefeuille, de profiter de la hausse potentielle des sous-jacents et de maintenir le pouvoir d’achat des investisseurs en leur offrant un coupon lié à l’inflation ou en leur permettant de bénéficier d’une hausse des taux.

Investir dans un produit structuré chez Deutsche Bank est en règle générale possible à partir de 1.000 euros.

Les autorités nationales et les entreprises qui ont besoin d'argent peuvent récolter les fonds nécessaires en émettant des obligations.

En investissant dans ces obligations, vous prêtez en fait de l'argent à une entreprise ou à une institution. En échange de quoi vous pouvez avoir droit à un intérêt ou coupon fixe. Vous avez également droit au remboursement de la valeur nominale à l'échéance, sauf en cas de défaut ou faillite de l'émetteur.

On peut donc dire qu'une obligation est un titre de créance négociable par lequel un émetteur s'engage à rembourser à son acquéreur le montant du prêt (sa valeur nominale) à l'échéance ainsi que en général un intérêt sur la somme empruntée (le coupon).

1. Privilégiez la sécurité et la prédictibilité
   Deux caractéristiques bien plus propres aux obligations qu'aux actions. Grâce à un intérêt fixe et à une durée déterminée, l'obligation reste un placement prévisible. Ces titres se montrent en général aussi moins volatils que les actions. Les obligations ont tout à fait leur place dans un portefeuille bien diversifié.
2. Droit au remboursement du capital
   L'investisseur en obligations possède également un avantage sur l'investisseur en actions : il a droit au remboursement de la valeur nominale à l'échéance, sauf en cas de défaut ou de faillite de l'émetteur. En cas de faillite de l'émetteur de l'obligation, l'investisseur en obligations (non subordonnées) participe à la répartition des actifs du failli avec une priorité sur l'actionnaire de l'émetteur. À la faillite de l'entreprise dont il a acheté des parts, l'investisseur en actions ne récupère généralement rien de sa mise, tandis que l'investisseur en obligations, en sa qualité de créancier, participe au partage de ce qui reste du patrimoine.
3. Une alternative à l'épargne
   Bien que les taux d'intérêt généraux soient dans une spirale ascendante en raison des récentes hausses des taux d'intérêt, les rendements des comptes d'épargne restent historiquement limités. Les obligations sont donc considérées comme une bonne alternative, pouvant offrir souvent des rendements plus élevés.
   

Malgré les éléments de prédictibilité et de protection, investir dans une obligation n'est pas sans risque. En principe, plus le risque est élevé, plus le rendement de l'obligation sera élevé. Il faut distinguer trois risques principaux, auxquels il faut ajouter le risque de change quand l'obligation est émise dans une devise autre que l'euro.

1. Risque de crédit
   Il s'agit de la situation dans laquelle l'émetteur (par exemple suite à une faillite) n'est pas en mesure de tenir son engagement de payer le coupon annuel et de rembourser à l'échéance le montant emprunté. Des cas de non-remboursement se sont déjà produits dans le passé (p.ex. dans le sillage de la faillite de SolarWord en Allemagne). Comme nous le verrons plus loin, des agences de notation comme Moody's of Standard&Poor's attribuent aux émetteurs une note (rating) qui reflète la qualité de leurs obligations. Le risque de crédit ne se matérialise pas uniquement en cas de défaut de l'émetteur. Une détérioration de la qualité de l'émetteur (telle qu'appréciée par son rating) ou une détérioration généralisée des conditions économiques aura pour effet d'augmenter la prime de risque requise par les investisseurs. Par conséquent, le rendement potentiel de l'obligation augmentera et son prix diminuera.
2. Risque de fluctuation des prix
   Ce risque est lié à l'évolution des taux d'intérêt. Une augmentation des taux d'intérêt du marché diminue d'autant l'attrait (et donc le prix) des obligations existantes. 
3. Risque de liquidité
   Le risque de liquidité représente la facilité avec laquelle l'investisseur peut acheter ou revendre une obligation sans perte significative. En l'espèce, le risque consiste à se retrouver obligé de vendre une obligation avant l'échéance pour faire face à un besoin de liquidités ou réaliser une plus value. Si le marché est peu liquide, la vente de l'obligation causera une baisse significative de son prix (on dit que l'écart entre le cours acheteur et vendeur est élevé). Mais dans la mesure où, l'investisseur conserve l'obligation jusqu'à son échéance, ce risque reste relativement réduit.
4. Risque de change
   En investissant dans une devise autre que l'euro, on court inévitablement un risque de change aussi appelé risque devise. Le risque de change est la probabilité qu'une baisse du cours de la devise dans laquelle on investit diminue le rendement du placement. Si l'évolution de la devise est défavorable, l'investisseur subira des pertes sur les coupons et le capital investi. Ces pertes seront dues à la conversion en euro. Si l'évolution est favorable, le placement bénéficiera de son rendement 'normal', ainsi que d'une plus-value due au taux de change favorable.
5. Risque de rendement
   Le rendement d’une obligation n’est pas lié à l’inflation et peut donc être supérieur ou inférieur à celle-ci. Le droit au remboursement de la valeur nominale à l’échéance ne vous protège pas contre l’effet de l’inflation. Le rendement réel du produit pourrait être négatif si le contexte économique actuel de forte inflation devait perdurer.

Il existe différents critères pour évaluer la qualité d'un émetteur. Le plus connu est sans doute la notation ou 'rating'.

1. Le rating
   Les ratings (notations) sont attribuées par les agences telles que Standard & Poor's et Moody's. Les notes décernées par ces spécialistes sont un instrument précieux pour l'investisseur. Leur rôle est clair : évaluer la solidité financière d'un émetteur et lui attribuer une note qui sera communiquée aux marchés. Attention : les agences se basent sur les données disponibles (souvent historiques) à propos de l'émetteur et du marché où il opère. Elles ne sont donc pas en mesure de prédire les scénarios inattendus.
   
   Les 'ratings' se divisent en deux grandes catégories : 'Investment Grade' et 'Non-Investment Grade' (High Yield).
   
   Les obligations 'Investment Grade' sont des obligations provenant d’émetteurs dont la situation financière est considérée comme robuste. Elles ont une notation allant de AAA à BBB- chez Standard & Poor’s, ou une notation équivalente chez Moody’s ou Fitch. Plus la notation est élevée, plus la probabilité que l'investisseur soit remboursé par l’émetteur à l'échéance finale (sauf en cas de faillite) est grande.
   
   La liste d'obligations proposées par Deutsche Bank ne reprend que des obligations 'Investment Grade'.
   
   Les obligations 'Non-Investment Grade' (High Yield) sont des obligations provenant d’émetteurs dont la situation financière est considérée comme beaucoup plus risquée. Elles ont une notation comprise entre BB+ et D chez Standard & Poor’s, ou une notation équivalente chez Moody’s ou Fitch. Comme le risque de défaut de paiement des émetteurs High Yield est sensiblement plus élevé, elles offrent un rendement potentiel plus élevé que les obligations 'Investment Grade'.
   
   En savoir plus sur les tableaux des ratings.
2. La prime de risque
   La prime de risque est la prime payée par l'émetteur en plus du taux d'intérêt d'un emprunt sans risque pour compenser le risque pris par l'investisseur. Une hausse de la prime de risque entraîne une baisse du prix de l'obligation et inversement.
   
   Il est intéressant de savoir que la prime de risque (aussi appelée 'spread') peut évoluer dans un sens ou dans l'autre au fil du temps. Pourquoi ? Parce que la solidité financière de l'entreprise peut changer. En période de haute conjoncture, quand l'activité dégage d'abondantes liquidités et renforce les profits, le risque de problèmes financiers est en général limité. Les entreprises qui veulent émettre des obligations peuvent se contenter de proposer un coupon un peu plus élevé que celui d'un emprunt d'État. À l'inverse, quand la conjoncture se dégrade les entreprises risquent davantage des difficultés financières. Dans ces conditions, la prime de risque doit être plus importante.
   
   Les niveaux des primes de risques pour différents émetteurs et différentes durées peuvent être observés sur le marché des dérivés de crédit. En particulier, les primes des credit default swaps (CDS) représentent une bonne approximation de la prime requise par le marché pour investir dans l'obligation d'un émetteur.

Le bon d’Etat est un titre de dette à revenu fixe et coupon annuel (sans possibilité de capitalisation), émis en euros par l’Etat belge quatre fois par an (mars, juin, septembre et décembre). Le particulier peut y souscrire sur le marché primaire et le titre est coté à la Bourse de Bruxelles (Euronext Brussels).

Les intérêts sont actuellement soumis à un précompte mobilier, en principe de 30% (dès 2017). Depuis le lancement de cette formule de placement par l'Etat belge, diverses formules ont été émises : le bon d’Etat à 3, 5, 8 ou 10 ans ; le bon d’Etat 5-7 ; le bon d’Etat 3-5-7 et le bon d’Etat à taux révisable chaque année. Ces dernières années, seules des formules à 5 ans et à 10 ans ont été proposées au public.

Les bons d’Etat seront tous attribués à votre portefeuille "Protection". 

Depuis l'année de revenus 2018, il est possible de récupérer une partie du prélèvement à la source sur les dividendes par le biais de votre déclaration d'impôt sur le revenu des personnes physiques. Comment procéder ? Nous vous expliquons la démarche à suivre en quelques questions & réponses.

En 2017, le gouvernement Michel a décidé d'accorder une exonération de précompte mobilier sur une première tranche de dividendes d'actions (640 euros à l'époque). Avec cette initiative, l'ancien gouvernement voulait stimuler les investissements dans l'économie réelle.

La mesure s'applique aux revenus à partir de 2018 (année d'évaluation 2019). Si vous remplissez les conditions, vous pouvez récupérer l'intégralité du précompte mobilier sur les 800 premiers euros de dividendes perçus (année d'imposition 2023). Étant donné qu'un impôt à la source de 30% s'applique à ces revenus, vous pouvez récupérer un maximum de 240 euros.

L’exonération porte sur un volet très spécifique du précompte mobilier : le précompte payé au cours de l'année de revenus sur les dividendes générés par vos placements en actions, qu’il s’agisse d’actions belges ou étrangères, qu’ils soient payés en titres ou en espèces.

Les revenus de vos placements en obligations ne peuvent donc pas prétendre à l’exonération, puisqu’il s’agit de coupons ou d’intérêts et non de dividendes. Les coupons distribués par vos produits structurés n’entrent pas davantage en ligne de compte, puisqu’il s’agit d’instruments de dette.

De même, les revenus distribués par vos placements en SICAV, fonds communs de placements et autres trackers n’entrent pas en ligne de compte pour l’exonération du précompte mobilier.

Pour résumer : pour prétendre à la récupération du précompte mobilier, vos dividendes doivent provenir de placements en actions belges ou étrangères et avoir été versés au cours de l'année de revenus.

Oui. Les revenus issus de constructions juridiques spécifiques soumis à la taxe dite « Taxe Caïman » ne sont pas concernés par la récupération du précompte mobilier. Par ailleurs, sont également exclus du périmètre de cette nouvelle mesure les revenus issus d’opérations spéciales de partage du capital d’une société, telles que les opérations de rachat d’actions ou de fusions.

Le remboursement du précompte professionnel s'effectue via la déclaration de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. Pour les revenus de 2022, ces montants sont à inscrire dans la déclaration que vous introduirez en 2023. Le montant à inscrire n'est pas la somme des dividendes que vous avez perçus, mais plutôt le précompte mobilier que vous avez payé sur ceux-ci.

L'arrêté royal/WIB stipule que vous devez tenir à disposition pour les archives les documents qui en font état :

• quelle société a accordé le dividende ;
• quel est le montant brut des dividendes pour lesquels l'exonération est demandée ;
• quel est le pays d'origine des dividendes et le montant de l'impôt étranger (pour les dividendes d'origine étrangère des résidents nationaux) ;
• quel taux de retenue à la source a été appliqué ;
• le montant de l'impôt retenu à la source ;
• à quelle date le dividende a été payé ou attribué par la société (pour les dividendes d'origine belge) ;
• que le dividende a effectivement pris fin et à quelle date.
  

Quoi qu’il en soit, sachez que vous ne devez fournir aucune pièce justificative au moment d’introduire votre déclaration à l’impôt des personnes physiques. Les documents justificatifs tels que vos extraits de compte seront uniquement nécessaires a posteriori, en cas de contrôle fiscal.

Ce montant se retrouve dans vos extraits de compte et sur vos bordereaux. Prenez soin de conserver vos extraits de compte, qui vous seront très utiles en cas de contrôle fiscal.

Etant donné que seul l’usufruitier perçoit les dividendes du portefeuille, il est en principe le seul à supporter le précompte mobilier. C’est donc uniquement l’usufruitier qui peut prétendre à l’exonération de celui-ci.

Absolument. Il s’agit d’une récupération d’impôts, et non d’une réduction d’impôts. Toute personne ayant payé du précompte mobilier sur des dividendes en 2022 peut donc y prétendre. De même, si vous n’êtes pas résident fiscal belge, vous pouvez récupérer le précompte mobilier par l’intermédiaire de votre déclaration à l’impôt des non-résidents.

Le relevé des dividendes que vous avez reçus l'année dernière est disponible à partir de la fin avril et se trouve dans la section "DB eSafe" de votre Online Banking.

Voici nos tarifs de courtage. Vous les retrouvez aussi dans nos "documents & tarifs" sur deutschebank.be.

• Euronext (Bruxelles)
  • Jusque 2.500 EUR : 7,5 EUR par transaction.
  • Àpd 2.500,01 EUR jusque 5.000 EUR : 14 EUR par transaction.
  • Àpd 5.000,01 EUR : 24 EUR par transaction et par tranche de 20.000 EUR (ou contre-valeur).
• Euronext (Paris, Amsterdam)
  • Jusque 2.500 EUR : 9,75 EUR par transaction.
  • Àpd 2.500,01 EUR jusque 5.000 EUR : 14,75 EUR par transaction.
  • Àpd de 5.000,01 EUR : 24 EUR par transaction et par tranche de 20.000 EUR (ou contre-valeur).
• Autres (Nyse, Nasdaq, Amex, Xetra, London, Milan, Virt-X, Helsinki)
  Jusque 5.000 EUR : 24,75 EUR par transaction.
  À partir de 5.000,01 EUR : 29,75 EUR par transaction et par tranche de 20.000 EUR (ou contre-valeur).
• Ordre transmis via un autre canal
  Toutes les bourses : 50 EUR par transaction et par tranche de 10.000 EUR (ou contre-valeur).
• Exécutions partielles d’un ordre
  Si un ordre ne peut pas être exécuté en une seule fois, les ordres exécutés le même jour seront groupés et le courtage sera porté en compte par jour.

Strips, droits : 0,80% (min. 2,50 EUR)

En effet, chez Deutsche Bank vous pouvez consulter les cours des actions sur Euronext en temps réel et gratuitement.

Comment en profiter ? Un seul ordre de bourse par trimestre suffit! En tant qu'investisseur en actions (sur Euronext) via Deutsche Bank, vous bénéficiez du real time pour une durée de 3 mois. Il vous suffit de passer un ordre de bourse et vous disposerez du real time le 1^er jour du mois qui suit l'exécution. Exemple : vous réalisez un ordre de bourse sur Euronext le 15 juillet. Dès le 1er août, vous disposerez du Real Time et ce, jusqu'au 31 octobre. Pour profiter du cours de la bourse en temps réel pour une nouvelle période de 3 mois, vous devrez réaliser un ordre de bourse entre le 1^er août et le 31 octobre.

Deutsche Bank vous propose deux options supplémentaires pour vos placements en actions :

• Les tops et flops: des analystes spécialisés évaluent les 5 actions les plus performantes et les 5 actions les moins performantes. En un clin d’oeil, vous voyez quels produits vous devez acheter ou éviter.
• Analyse technique et actualités concernant les marchés d’actions: grâce aux analyses techniques (conjoncture, tendances, etc.) vous êtes mieux à même de déterminer quand vendre ou acheter des actions.
• Vous disposez d’informations détaillées pour chaque produit.
  

Deutsche Bank vous propose une tarification transparente et compétitive sur le compte-titres : 12 euros par ligne avec un maximum de 300 euros par an (tva comprise). Et si vous optez pour notre offre DB Personal*, les droits de garde du compte-titres sont inclus dans votre relation. Veuillez consulter nos tarifs pour de plus amples détails.

* Les frais de gestion/droits de garde sur compte-titres sont inclus dans le tarif DB Personal de 75€ par trimestre TVAC.

Vous êtes déjà client chez Deutsche Bank ?
Vous recevez automatiquement un compte-titre si vous êtes en possession de titres.

Vous n’êtes pas encore client chez Deutsche Bank ?
Prenez un rendez-vous en ligne ou appelez Talk & Help au 078 155 150 pour prendre rendez-vous.

Dès réception de votre demande de transfert dûment complétée, nous vous envoyons une confirmation par courrier et entamons les démarches auprès de votre autre banque. Comptez environ 4 à 6 semaines en moyenne pour que le transfert complet de votre compte-titres soit réalisé, sauf si l’un des titres nécessite un traitement plus long.

Lorsque le transfert de vos titres est finalisé, Deutsche Bank vous contacte par téléphone afin de fixer un rendez-vous à votre meilleure convenance dans votre Advisory Center. Lors de cet entretien, l’un de nos conseillers procède au remboursement des frais de transfert  (et le paiement de la prime éventuelle) sur votre compte à vue ou votre compte d’épargne à Deutsche Bank.

N’oubliez pas d’y apporter la preuve du décompte des frais de transfert de votre autre banque et, si vous les avez encore, les ordres d’achats de vos titres dans votre autre banque. Bien entendu, nous vous confirmons par extrait de compte le paiement du remboursement des frais (et le paiement de la prime éventuelle). Cet extrait de compte est mis à votre disposition en fonction de la périodicité des extraits de compte qui s’applique à votre relation (par exemple une fois par trimestre pour les clients DB Account, une fois par mois pour les clients DB Personal ; journalier ou hebdomadaire si le client a opté pour une autre périodicité).

Bien entendu, l’action est également ouverte aux non-clients. Nous vous demandons d’abord d'ouvrir un compte chez Deutsche Bank.

Prenez rendez-vous dans l'Advisory Center de votre choix au 078 155 150. N’oubliez pas de vous munir du relevé du votre compte-titres de votre autre banque. Un conseiller Deutsche Bank procédera ainsi à l’ouverture de votre compte et pourra immédiatement vous faire profiter de cette action.

En moyenne, il faut compter environ 4 à 6 semaines à partir du moment où la contrepartie (la banque dans laquelle se trouve le compte-titres à transférer) nous confirme qu’elle initie le transfert. Ce délai peut se rallonger pour certains titres, lorsque par exemple le dépositaire se situe en dehors de l’Union européenne, et notamment aux Etats-Unis, au Canada, en Australie, dans les pays périphériques de la zone euro (Turquie, ex-pays de l’Est, etc.).

Il nous arrive également de devoir effectuer des recherches plus avancées concernant les dépositaires de certains titres, notamment lorsqu’il s’agit de dépositaires américains, canadiens, australiens, etc. Chaque titre transféré issu d’un même compte-titres peut ainsi avoir un dépositaire différent. Dans le cas d’une régularisation fiscale, le délai peut être plus long car Deutsche Bank ne validera le dossier que lorsqu’elle aura reçu une confirmation de l’administration fiscale.

Le transfert de certains titres peut en effet être plus rapide. Dès qu'un titre est transféré, vous recevrez un relevé de compte et le titre apparaîtra dans votre Online Banking dans la section " Mon portefeuille " - " Compte-titres ". Nous n'attendons donc pas qu'un compte-titres soit entièrement transféré pour vous donner accès aux titres dont le transfert a déjà été effectué.

La prime n'est versée que lorsque tous les titres ont été transférés. À ce moment-là, nous vous contacterons par téléphone pour fixer un rendez-vous dans votre Advisory Center.

Dans le cadre de cette action, nous vous rembourserons les frais de transfert de votre compte-titres chez Deutsche Bank, sous réserve de la preuve du règlement des frais de transfert (hors strips et droits, sauf si les actions correspondantes sont également transférées). Les frais seront remboursés jusqu'à un maximum de 1.000 euros par client (par le terme client, nous entendons ici la relation bancaire, comme stipulé dans la brochure MiFID).

Même si l’échéance est proche, le titre sera transféré sur votre compte-titres chez Deutsche Bank dans la mesure du possible. Cependant, si le titre se trouve entre deux dépositaires au moment de son échéance, vous devrez quelque peu patienter jusqu’à ce que le titre soit arrivé auprès du dépositaire de Deutsche Bank avant qu’il vous soit payé. Ensuite, il n’apparaîtra évidemment plus sous votre compte-titres. A noter que la prime ne sera pas payée sur des titres mis en compte-titres moins de 2 mois avant leur échéance finale.

Dès qu’un transfert a été initié, il revient à Deutsche Bank de payer le coupon si, dans le détail du transfert, la contrepartie a bien indiqué le numéro de coupon à payer. Attention : initié ne signifie pas que vous ne les voyez plus dans le compte-titres de votre autre banque mais qu’ils ont réellement quitté cette autre banque et se trouvent chez le dépositaire des titres.

Oui c’est normal. Le processus de transfert varie selon la contrepartie. Certaines agences bancaires regroupent les différentes demandes de transfert et donc retirent déjà les titres des dossiers avant d’initier, seulement plus tard, la demande de transaction auprès des intermédiaires financiers. Résultat : vos titres se trouvent quelque part entre votre ancienne banque et les intermédiaires (chambre de compensation, dépositaire,…) mais ne sont pas encore parvenus à Deutsche Bank. Nous mettons tout en œuvre pour raccourcir cette période.

Deutsche Bank vous propose une tarification transparente et compétitive sur le compte-titres : 12 euros par ligne avec un maximum de 300 euros par an (TVA comprise). Et si vous optez pour notre offre DB Personal, les droits de garde du compte-titres sont même compris dans vos frais de relation trimestriels. Pour rappel, le service DB Personal vous propose, entre autres, un conseiller personnel expérimenté, un suivi proactif de votre portefeuille et un accès à un ensemble de solutions pour seulement 75€ par trimestre (TVA comprise). Vous pouvez consulter ici un aperçu de tous les frais.

Oui, de la manière suivante:

• Dès réception de votre demande de transfert dûment complétée, nous vous envoyons une confirmation par courrier et entamons les démarches auprès de votre autre banque.
• Il n’est donc pas nécessaire de nous contacter dans les 4 à 6 semaines suivant ce courrier, vu que c’est le délai moyen nécessaire au transfert de votre compte-titres.

Chez Deutsche Bank, nous prônons l’impartialité de nos conseils. Cela signifie que dans le suivi de vos placements, nous ne nous limitons pas à nos produits « maison ». De même, à l’achat nous vous proposons les fonds* d’une trentaine d’institutions financières de renom, dont les frais d'entrée sont limités à 1,5% pour le tarif standard et 1% pour les tarifs DB Personal et Private Banking et à 0% de sortie (sauf disposition contraire du prospectus). Et si vous optez pour DB Personal, vous bénéficierez d’un conseiller personnel dédié au suivi de votre portefeuille, à un reporting régulier via un rapport de portefeuille trimestriel détaillé, à des propositions d’arbitrage, à des lettres de conseils personnalisés, etc. Notez toutefois que chez Deutsche Bank, nous ne donnons en général pas de conseils individuels sur les actions et les trackers.

* Le terme "fonds" est l’appellation commune pour un Organisme de Placement collectif (OPC), qui peut exister sous le statut d'OPCVM (UCITS) ou d'OPCA (non–UCITS), et prendre diverses formes juridiques (SICAV , FCP etc). Un OPC peut comporter des compartiments. Les fonds sont sujets à risques. Ils peuvent évoluer à la hausse comme à la baisse et les investisseurs peuvent ne pas récupérer le montant de leur investissement.

Dès qu’un titre est transféré, vous en recevez la confirmation par extrait de compte et ce titre apparaît dans votre Online Banking sous la rubrique « Mon portefeuille ». Dès ce moment, vous pouvez effectuer une transaction sur ce titre. Nous n’attendons donc pas que l’intégralité d’un compte-titres soit transféré avant de vous donner accès aux titres déjà en ordre.

Les fonds monétaires et les fonds négociés en bourse (ETF, trackers...), actions, obligations, bons d’État, bons de caisse, warrants, droits, strips et certificats sont exclus.

Par ailleurs, depuis quelques années, nous n’acceptons plus de placer sur un compte-titres Deutsche Bank les titres suivants :

• les bons de caisse néerlandais,
• les obligations d’Etat argentines,
• les Hedge Funds
• les certificats nominatifs (sauf ceux ayant déjà été convertis),
• les actions et obligations non cotées (sauf les prêts émis par les banques),
• les titres physiques belges et étrangers.

Lors du transfert de fonds, il est important de vérifier si la date à laquelle vous avez acheté les fonds est antérieure ou posté-rieure aux dates suivantes : 1er juillet 2005 (fonds avec passeport européen) ou 1er juillet 2008 (fonds sans passeport européen). Pour les fonds que vous avez acheté après ces dates, nous vous demandons de nous fournir les documents émanant d’institutions financières tels que les bordereaux ou les extraits de compte (ceci vaut également en cas de vente intermédiaire éventuelle). C’est important car plus tard, si vous désirez vendre l’un de ces fonds et que nous ne connaissons pas la date d’achat exacte, la loi nous oblige à prendre les deux dates susmentionnées en considération dans le calcul de la plus-value éventuelle et de la taxation correspondante. Il se peut donc qu’au moment de la vente, vous payiez une plus-value « fictive » plus élevée que celle dont vous aurez en réalité bénéficié.

La prime sera versée sur votre compte lorsque votre dossier aura été validé par Deutsche Bank et que les titres auront bien été comptabilisés sur un compte-titres auprès de Deutsche Bank.

Ce délai d’attente est lié à deux facteurs. D’une part, le type de produit. Le transfert d’actions ordinaires prend de trois à cinq jours, mais à titre exceptionnel, pour certains fonds, cela peut prendre plus longtemps. Les fonds que nous traitons nous-mêmes sont transférés en dix jours environ. Si nous ne les avons pas encore en portefeuille, le délai est plus long parce que plusieurs formalités doivent être remplies au préalable : trouver un dépositaire, s’assurer que nous pouvons traiter ce fonds, ouvrir éventuellement un compte auprès d’un dépositaire, signer un contrat avec l’émetteur du fonds, etc. L’établissement d’un contrat à lui seul peut durer jusqu’à 8 semaines. Le second facteur, ce sont toutes les conditions préalables à un transfert. Souvent, l’autre banque ne collabore pas avec enthousiasme, de sorte qu’il est difficile d’obtenir les informations requises, comme le type de titre. Retenez toutefois que, dès qu’il y a un accord, nous finalisons 90% des transferts dans les dix jours ouvrables.

Vous êtes propriétaires des titres détenus sous dossier-titres, en cas de faillite d’une institution financière, vous récupérez les titres dont les émetteurs ne sont pas concernés par cette faillite (par exemple en les transférant vers une autre institution financière). Si dans le cas contraire, vous détenez des titres dont l’émetteur est en faillite, il y a peu de chance que vous récupériez les montants investis.

Vous pouvez consulter notre article "La nouvelle taxe sur les comptes-titres en 16 questions/réponses"

Etant donné que les taux des comptes à terme suivent de près l’évolution des taux d’intérêt sur les marchés, nous vous invitons à appeler Talk & Invest au 078 156 157 ou à vous rendre dans l'un de nos Advisory Centers. Vous pouvez aussi toujours trouver une sélection de taux d'intérêt sur notre page comptes à terme.

À l’échéance du terme de votre compte, votre argent est libéré et est versé avec les intérêts sur le compte que vous nous aurez communiqué au préalable.

Le montant minimum pour un compte à terme en euros est de 100.000 euros et l'équivalent de 100.000 euros pour un compte à terme dans une autre devise (USD, GBP, ...).

Grâce au compte DB Investor Account, vous pouvez effectuer très simplement vos transactions sur titres (achats, ventes, etc.). Il n'y a aucune obligation de conserver un certain montant sur ce compte, sauf si vous souhaitez l'utiliser pour des transactions d'investissement.

Le compte DB Investor Account peut être ouvert en euros et dans certaines devises étrangères (USD, GBP, CAD, NZD et NOK).

Oui, il vous est possible de souscrire à l’assurance « décès par accident ». Pour cela, rendez-vous dans votre Advisory Center afin de signer le formulaire de demande d’assurance « décès par accident ».

Si, quel que soit le prix, vous souhaitez acheter ou vendre un titre coté en bourse (par ex. une action ou une obligation), vous transmettez un « Ordre de marché ».

Si le volume est suffisant, l’ordre sera exécuté à l’ouverture du marché au cours en vigueur au moment de l’ordre. Si le volume est insuffisant, l’ordre sera exécuté par étapes, au fur et à mesure de la disponibilité des quantités souhaitées. Dans ce cas, il est possible que votre ordre soit exécuté à différents cours.

Exemple : Supposons que vous souhaitiez acheter 100 actions de l’entreprise X. La bourse est ouverte et le cours de l’action est actuellement de 18,30 euros. En introduisant un « Ordre de marché » de 100 actions, 100 actions seront achetées si 100 actions sont disponibles, au cours en vigueur au moment où l’ordre est passé. Veuillez noter que le prix par action peut être supérieur ou inférieur à 18,30 euros étant donné qu’il dépend du cours (qui fluctue constamment) et du volume disponible. Il est ainsi possible par exemple qu’il n'y ait que 50 unités disponibles au prix de 18,30 euros par action et les 50 autres au prix de 18,45 euros par action.

Lors de l’introduction de votre ordre, vous n’indiquez donc pas de prix maximum (achat) ou de prix minimum (vente) auquel le titre doit être acheté ou vendu, vous indiquez uniquement qu’il s’agit d’un achat ou d’une vente et le nombre d’unités.

Avantages :

• Les « Ordres de marché » priment sur un « Ordre limite » (voir plus loin).
• Il y a plus de chances que l’ordre soit exécuté plus rapidement.

Inconvénients :

• En raison des fluctuations du marché, le prix peut fortement s’écarter du dernier cours (= « slippage »).

Si vous préférez avoir plus de certitude quant au prix que vous recevez, un « Ordre limite » constitue une meilleure option (voir plus loin).

Lors de l’achat et de la vente de titres, vous pouvez éviter les conséquences de fluctuations de cours trop importantes en transmettant des ordres avec un cours limite. Dans le cas d’un « Ordre limite », vous déterminez donc à l’avance à quel prix votre ordre peut être exécuté.

• Un « Ordre limite » d’achat signifie que votre ordre sera exécuté dès que le cours du titre sera égal ou inférieur au cours limite que vous avez défini. En d’autres termes, vous indiquez donc le prix maximal que vous êtes prêt à payer.

Exemple : Supposons que vous vouliez acheter l’action A, dont le cours oscille actuellement autour de 16,20 euros. Vous voulez acheter l’action pour maximum 16 euros. En indiquant un « Ordre limite » de 16 euros, vous êtes certain que votre ordre sera exécuté à un cours de maximum 16 euros. Vous ne devez alors plus vous en inquiéter.

• Un « Ordre limite » de vente signifie que votre ordre est exécuté dès que le cours du titre est supérieur ou égal au cours limite que vous avez défini. Vous indiquez donc le prix minimum que vous souhaitez recevoir.

Exemple : Supposons que vous souhaitiez vendre l’action B, dont le cours oscille actuellement autour de 26,50 euros. Vous voulez vendre l’action pour minimum 28 euros. En indiquant un « Ordre limite » de 28 euros, vous êtes certain que votre ordre ne sera pas exécuté à un cours inférieur à 28 euros. Vous ne devez alors plus vous en inquiéter.

Avantages :

• Vous avez plus de contrôle sur le prix.
• Votre ordre n’est jamais exécuté à un cours moins favorable que la limite fixée.

Inconvénients :

• Il est possible que votre ordre ne soit jamais exécuté si le cours approche de la limite, mais ne la dépasse pas.

Plus votre « Ordre limite » est proche du cours, plus il y a de chances qu’il soit exécuté.

Si vous voulez définir à l’avance les limites auxquelles votre ordre est exécuté, un « Ordre stop » constitue la meilleure option (voir plus loin).

Avec un « Ordre stop », vous indiquez – contrairement à un « Ordre limite » – à partir de quel cours vous voulez vendre (ou acheter) un titre. Ce moment est appelé seuil d’activation ou « trigger ». Ce n’est que lorsque ce « trigger » sera atteint que votre « Ordre stop » sera déclenché.

Les « Ordres stop » sont de 2 types :

• « Ordre stop-loss » (voir plus loin)
• « Ordre stop-limit » (voir plus loin)

Les « ordres stop » sont souvent utilisés pour couvrir le risque baissier lors d’une vente. Vous pouvez toutefois aussi utiliser les « Ordres stop » lors de l’achat de titres. Les analystes boursiers professionnels peuvent, par exemple, estimer qu’une action n’est digne d’achat qu’à partir du moment où elle a franchi un certain seuil à la hausse. Ils partent alors du principe qu’à partir de ce moment-là, l’action continuera très probablement sa forte progression.

Exemple : Une action dormante cote depuis un certain temps aux alentours de 98 euros sans dépasser le seuil de 100 euros. Si vous estimez que le dépassement de la limite des 100 euros est un signal très positif, vous pouvez introduire un « Ordre stop » avec comme « trigger », par exemple, 100,20 euros. Votre ordre d’achat n’entrera en bourse que lorsque le cours de l’action aura atteint 100,20 euros. Vous pouvez intégrer une sécurité supplémentaire avec un « Ordre stop-limit » pour limiter votre prix d’achat maximal (voir plus loin).

Avec un « Ordre stop-loss », vous donnez à l’avance un cours déterminé (c.-à-d. le seuil d’activation ou « trigger ») auquel un titre doit être vendu (ou acheté). Dès que le « trigger » est atteint ou dépassé, un « Ordre stop-loss » devient automatiquement un « Ordre de marché » et est exécuté au cours suivant en bourse.

Un « ordre de vente stop-loss » est exécuté comme un « ordre de marché » dès que le « cours stop-loss » (c.-à-d. seuil d’activation ou « trigger ») que vous avez indiqué est atteint ou descendu en dessous de celui-ci. Cela peut être utile lorsque vous êtes en vacances, par exemple, ou lorsque vous avez un peu moins de temps pour suivre le cours de vos titres.

Exemple : Vous détenez une action de la société Y que vous avez achetée à l’époque au prix de 50 euros. Vous avez déjà réalisé une belle plus-value, car le cours actuel s’élève aujourd’hui à 75 euros. Cependant, vous voulez sécuriser vos bénéfices. Si le cours devait descendre sous les 70 euros, vous voudriez vendre votre action. Grâce à un « Ordre de vente stop-loss » fixé à 70 euros (= « trigger »), vous veillez à ce que l’ordre devienne automatiquement un « Ordre de marché » dès que ce « trigger » est activé. Attention : Cela n’offre aucune garantie que votre ordre sera effectivement exécuté à 70 euros étant donné que le cours de vente final peut fortement différer du « trigger » spécifié. Votre ordre est en effet soumis en bourse comme un « Ordre de marché ».

Avantages :

• Vous protégez votre position contre une trop forte baisse de cours.
• Votre ordre est généralement exécuté rapidement lorsque le « trigger » est atteint.

Inconvénients :

• Le prix de vente (ou le prix d’achat) final peut s’écarter sensiblement du « cours stop-loss » fixé, votre ordre étant transmis en bourse comme un « Ordre de marché ».
• En cas de négoce illiquide de l’action, des fluctuations de prix importantes peuvent survenir (= « slippage »).

Lors de l’introduction de votre ordre, veillez à respecter les règles suivantes :

• Pour un ordre d’achat, le « cours stop-loss » que vous introduisez doit être supérieur au prix actuel du marché du titre à acheter.
• Pour un ordre de vente, le « cours stop-loss » que vous indiquez doit être inférieur au prix actuel du marché du titre à vendre.
  

Si vous indiquez un « Ordre stop-limit », vous indiquez, outre un seuil d’activation ou un « trigger », un cours limite auquel un titre doit être vendu (ou acheté). Par conséquent, un « Ordre stop-limit » n’est pas transmis comme un « Ordre de marché », mais comme un « Ordre limite ».

Lors de l’introduction d’un « Ordre stop limit », vous devez donc définir deux paramètres :

a. le « cours stop-loss » (c.-à-d. le seuil d’activation ou « trigger ») ; et

b. le cours limite.

Un « Ordre de vente stop-limit » n’est exécuté que lorsque le cours descend jusqu’au « Cours stop-loss » que vous avez indiqué ; à ce moment, cet ordre devient automatiquement un « Ordre limite » : votre ordre est exécuté tant que le cours ne descend pas sous le cours limite que vous avez indiqué. Cela signifie qu’en cas de vente, votre ordre sera exécuté dès que le cours du titre sera égal ou supérieur au cours limite que vous avez défini.

Exemple : Vous détenez une action de la société Z que vous avez achetée au cours de 53 euros. L’action cote aujourd’hui à 70 euros. Vous espérez une poursuite de la hausse du cours, mais vous voulez tout de même vous couvrir contre une éventuelle correction à la baisse. Grâce à un « Ordre de vente stop-loss » fixé à 67 euros (= « trigger ») et une limite de 60 euros, vous indiquez que vous êtes prêt à vendre dès que le cours baisse à 67 euros. Si l’ordre est exécuté, vous indiquez avec le cours limite que vous souhaitez recevoir au moins 60 euros pour votre action. Vous indiquez donc que vous voulez vendre votre action uniquement entre 60 euros et 67 euros.

Lors de l’introduction de votre ordre, veillez à respecter ces règles :

• Pour un ordre d’achat, le « Cours stop-loss » que vous introduisez doit être supérieur au cours actuel du marché du titre à acheter et le cours limite doit être supérieur au « Cours stop-loss » ;
• Pour un ordre de vente, le « Cours stop-loss » que vous indiquez doit être inférieur au cours du marché actuel du titre à vendre et le cours limite doit être inférieur au « Cours stop-loss ».

Avantages :

• Vous êtes protégé contre une baisse de cours.
• Votre ordre est transmis en bourse sous la forme d’un « Ordre limite ».

Inconvénients :

• Si le « Cours stop-loss » et le cours limite sont trop proches l’un de l’autre et qu’une baisse du cours se produit, il existe toujours un risque que votre ordre ne soit pas exécuté.

Un « Ordre stop-loss » et un « Ordre stop-limit » sont uniquement possibles sur les marchés suivants : Amsterdam, Bruxelles, Paris, Nasdaq, NYSE et AMEX. Ils ne sont donc pas possibles sur d’autres bourses (Xetra, OTC, NYSE Arca...).

Pour un aperçu complet des ordres possibles sur les marchés, nous vous renvoyons à la brochure MiFID (page 53).

Un « Ordre stop-limit » est comparable à un « Ordre stop-loss ». La différence est qu’un « Ordre stop-limit » est un ordre limité et implique donc un cours limite.

En fonction du titre et du marché, vous pouvez placer un ordre journalier, laisser un ordre ouvert en permanence ou définir une date spécifique jusqu’à laquelle votre ordre est valable.

• Dans le cas d’un ordre journalier, votre ordre est automatiquement supprimé lors de la fermeture du marché si celui-ci n’a pas encore été exécuté.
• Dans le cas d’un ordre permanent, votre ordre reste ouvert jusqu’à ce qu’il soit exécuté ou jusqu’à ce que vous l’annuliez.
• Lorsque vous déterminez une date spécifique, l’ordre sera valable jusqu’à cette date ou jusqu’à ce que vous l’annuliez.

Si un ordre n’est pas exécuté en une fois (par exemple parce que le marché est illiquide), les ordres qui sont exécutés le même jour seront groupés et les frais de courtage seront imputés par jour.